GRIFFONNAGES SANS AUCUN SENS … TOUT LE MONDE PARLE DU DESIR 
Tout le monde discute palabre de la valeur pensant que cette dernière peut ^nous être attribuée par les autres. C’est faux mes amis. Il faut raisonner autrement. « La valeur n’existe pas en soi, ça n’existe que par mon désir ou mon amour sincère envers l’environnement qui me fournit l’oxygène afin de respirer. Nos appréciations de valeur ne relèvent pas de la compréhension des autres mais du désir qu’on se fait ou qu’on aspire. Je suis incapable de la situation où je suis sur le plan mental d ‘apporter plus d’explications à ce « problème » des considérations dont les gens aspirent de nos jours. Une ami il y a six mois de cela me disait que je ne peux m’en passer d’elle. Résultats depuis plus de huit mois j’ai coupé les amarres et depuis je n‘ai en aucun moment pensé à elle. Elle ignore que je suis du genre de personne qui a une conviction « ignorer celui qui vous ignore… Je dirai même que j’en fait ma devise. Qu’elle peut dormir sur ses deux oreilles qu’elle n’entendra plus jamais parler de moi. Je suis ainsi par autrement. Trois amies me sont restées fidèles.

Dès que je serai rétabli je ne les quitterai jamais. Philosophiquement parlant je voulais tout simplement vous dire que la valeur n »attend pas le nombre d’années comme le disait Molière le grand écrivain dramaturge français dans sa pièce théatrale « L’avare ».. La valeur ne nous dit rien sur sa réalité en soi (car il n’existe pas de valeur en soi), mais simplement sur le désir de l’individu et plus particulièrement sur l’éducation ou l’apprentissage qu’il a subi; car un désir est toujours un désir éduqué, conditionné, influencé ou manipulé. Des vocables que j’ai souvent repris dans mes griffonnages sans aucun sens mais qui souvent dérangent. Ils dérangent dirai-je ceux qui n’ont rien compris à la vie. A dire vrai, le désir n’est pas éthéré.

Cela veut dire qu’il n’agit pas comme « une volonté élancée » libre ou libérée des nécessités du corps et de l’esprit. C’est une chose selon les grands plus érudit que nous autres, car je suis conscient que la valeur pas celle de l’argent est certainement indépendante de la réalité du monde comme le croyaient nos ascendants. Je veux dire que le désir est travaillé par les pulsions, que le désir est fertilisé par les apprentissages et les conditionnements. Et la volonté n’est pas autre chose qu’un désir éduqué, conscient et en acte. Un désir qui agit. Quand je dis : « je veux ! », j’affirme consciemment mon désir, j’affirme au point de le mettre en action. Vouloir, c’est désirer agir ou faire agir mon désir de me trouver blotti dans les bras de ma mère qui a tant souffert pour me mettre au onde et m’entretenir en complicité avec mon papa jusqu’à devenir adulte. Un peu à la manière de Spinoza pour qui le désir est « une puissance d’agir avec conscience », je ne distingue pas le désir de la volonté sinon que par l’action : je peux désirer une chose sans agir, mais je ne peux vouloir vraiment une chose sans mettre en activité mon désir c’est-à-dire sans agir. Sinon volonté ne serait que velléité; sinon désir ne serait qu’espérance à obtenir quelque chose qu’on désire d’où un manque d’adolescent de bambin ou même d’adulte. Certains de ces derniers sont encore à ce stade selon le psychanalyste Freud. Bien laissons tomber ce sujet pensons maintenant au prochain lequel je ne sais rien les thèmes sont pondus selon l’humour et la circonstance….

                          LA DEPECHE TARFINOISE.

Tag(s) : #CHRONIQUE
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